samedi 14 septembre 2013

12 mois en 12 Instagram/12 month in 12 Instagram

#1 : Le déchirement de la séparation/ Torn apart

#2 : La premiere visite/ First Visit

#3 : Le Stage de tous les dangers/High risk internship

#4: L'étrange Noel de Miss Boulous/ The weird christmas of Miss Boulous

#5: Janvier neigeux, Janvier heureux/ Snowy January, Happy January

#6 : Fevrier en mode groupipi/February in Groupeepee mode

#7 : Journée porte ouvertes a Poudlard/Open day at Hogward

#8: fun. time en Avril/fun. time in April

#9: On leve le camp Roumain/Moving romanian style

#10: Champion du monde...Le foot ne m'avait pas autant enchante depuis 1998./Champion of the world...Football had not excited me that much since 1998.

#11 : Canicule et passage de Marco...Une coincidence? Je ne crois pas/Heatwave and Marco in town at the same time...Coincidence? I think not

#12 : Toutou you too avec les copines!/Pumpin iron with the McDs Ladies

12 LONDON quotes









Un peu d' Underground wisdom







vendredi 13 septembre 2013

"Time flies when you're having fun"


Je sais que vous vous languissez de mes récits et sachez que je ne vous ai point oublié! Vous devriez voir le nombre de brouillons qui s'accumule, de débuts d’articles gribouillés sur des coins de cahier...J'ai énormément de choses à raconter mais, comme vous avez pu l’observer, mon inspiration nait dans la frustration, l'énervement et l'ennui (cf. la Pologne). Malheureusement pour vous, tout va à merveille dernièrement! Je m’épanoui dans mon nouveau travail chez Sky, le leader de la télé en Grande Bretagne. J'ai déménagé à Hammersmith dans l'ouest de Londres avec celle que je qualifiais comme une "collègue" de McDonald mais qui s'est maintenant érigée au rang d’"amies" et pas juste sur Facebook (Whoop whoop)! Concernant mes amis justement, je me suis formée une petite sphère sympathique et éclectique de personnes avec qui j'apprécie de passer du temps et avec qui je prévois de créer encore plus d’impérissables souvenirs. Globalement, ma vie pourrait difficilement être meilleure ou me rendre plus heureuse. Avant d'aller plus loin, je tiens à répondre à la question que beaucoup doivent se poser: oui je suis toujours célibataire, non je n'ai pas encore viré lesbienne. Maintenant que c'est dit, nous pouvons poursuivre.

J'ai choisi de me remettre derrière le clavier car aujourd'hui est une occasion spéciale : le premier anniversaire de mon arrivée à Londres (vers 18h plus exactement)! Probablement l'une de mes meilleurs idées à ce jour (je sais qu'il y a pas énormément de compétitions pour le titre)! Les raisons qui m'ont poussées à cette décision sont diverses:
-La possibilité d'EVITER l'inévitable installation à PARIS. Il y a pire que Paris me dirait vous...Oui mais il y a mieux, beaucoup mieux même! Surtout pour quelqu'un qui déteste la capitale.
-Une envie de STABILITE. L'absence de visa me permet de rester autant de temps que je le souhaite et faire presque tout ce que je souhaite sans me préoccuper de la date d'expiration. Une véritable possibilité de me projeter sur le long terme. Quel bonheur!
-Une passion pour la CULTURE ANGLAISE. Londres est la capitale de l'Europe, c'est l'endroit où tout se passe, c'est l'emblème du cool et du rock. Le tout à 1h30 d'avion de Biarritz, what else? Et puis y a pas à tortiller, l'accent anglais est de loin le plus charmant! Impossible d'y résister!
- Une envie de LIBERTE. Ici personne ne te juge, il est possible d'expérimenter et de faire ses propres erreurs sans essuyer de regards désapprobateurs de trou du c**! En plus de ça, bien que Londres soit une ville immense, il règne un sentiment de sécurité qui permet d'apprécier les plaisirs simples de la vie tels que courir nue le long d'Oxford Street à 3h30...Non pas que j'ai essayé! Il fait bien trop froid pour ça!
-Une envie de SORTIES diverses et variées. Au revoir le combo Ventilo-Playboy…Bonjour vernissages, concerts, théâtre, ballets, bar, festivals, cinéma. Les possibilités de sortie à Londres sont infinies. Je partais avec en tête une version cultivée et curieuse de ma personne!
-Le SHOPPING. Deux mots : Primark - Topshop
-Et bien sûr, les OPPORTUNITES PROFESSIONNELLES. Il n'est pas nécessaire que je développe le sujet, c'est relativement clair!

Le bilan après un an: j'ai déménagé 2 fois, décroché 2 jobs, complété un stage, démissionné d’un de ces jobs, deux fois (McDo ndlr/mdr), envoyé une quantité industrielle de CV et passé un nombre incalculable d'entretiens. Des amitiés se sont faites et défaites, puis refaites (redéfaites?!). Je suis rentrée en France 2 fois, 3 amis sont venus me rendre visite (Big Up a Toto, Lili et Marco), ainsi que mes parents et mon petit boulet de sœur. J'ai été à 3 concerts (One Direction, fun. & C2C), vu environ 5 films au cinéma, assisté à un seul vernissage et un match de Rugby. J’ai aussi une copine de fiancée (article à venir) mais j’ai le sentiment que ça n’est pas lié à mon installation Londonienne. En gros, ce fut une première année bien remplie qui m'a permis de lancer la machine, de m'installer, de prévoir encore plus pour les années à venir!


Stay tune pour d'autres articles en célébration de ce premier anniversaire!

lundi 27 mai 2013

Bonne Fête Maman


V pour ton visage souriant qui me rassure
I  pour ton imagination débordante qui a bercé mon enfance
R pour ton rire qui réchauffe le coeur
G pour ton goût du luxe que j'aimerais pouvoir, un jour, combler
I pour ton irritabilité qu'aucun cour de yoga ne peut calmer
N pour ta naturelle beauté qui comme un bon vin s'améliore avec l'âge
I pour ton intelligence qui est trop souvent sous estimé car bien caché
E pour tes encouragements, qui, bien que parfois maladroit, nous ont permis de nous épanouir et de devenir les jeunes filles que nous sommes aujourd'hui.








mardi 30 avril 2013

Jeune demoiselle cherche l'appartement avec un grand A


Au cours de ces dernières années, j'ai pas mal voyagé, je me suis temporairement installée dans plusieurs endroits et par conséquent je suis passée par cette inévitable phase de la recherche d'un appart/colocation. Je n'ai pu m'empêcher d'y trouver des similitudes avec mon autre "Life Quest", la recherche de l'homme de ma vie.

Quand on cherche un appartement, nous avons tous des critères que nous revoyons à la baisse au fur et à mesure des visites. Lors de la première fois dans l'appartement, nous observons, nous jugeons, nous cochons les cases de notre liste et personnellement je ne peux m’empêcher de penser "Qu'est-ce que mes parents en penseraient?"...Evidemment, aucun appartement n'est à la hauteur de leur petite princesse. Comme pour la recherche du grand amour, il y a beaucoup de rencontres, des coups de cœur  des coups de foudre, de la compétition mais aussi des déceptions. Comme avec les hommes, il faut parfois faire abstraction de l'apparence pour juger le potentiel. Il arrive aussi de faire des choix par facilité : Il est là, disponible, pratique et vous a choisi. Quand on en trouve un qui est vraiment bien, on nous annonce que vous devez partir parce que la maison est vendue. Pour l'analogie avec une relation amoureuse, la maison vendue peut être un déménagement imprévu de l'élu dans une contrée éloignée, ou votre délocalisation à vous.

Dans le cas de la colocation, il est possible de penser que c'est l'élu mais finalement ne pas être choisi et devoir laisser la place à quelqu'un d'autre. Pour mettre toutes les chances de son côté, lors de la première rencontre avec les futurs colocs, vous donnez le meilleur de vous. Vous devez être inoubliable, charmante, mystérieuse et promettre des qualités de femme au foyer indiscutable. Si dans le meilleur des cas, vous êtes acceptées vous tenez vos promesses une semaine voir un mois pour les plus courageuses puis le naturel reprend le dessus. Mais vous n'êtes pas la seule à faire illusion. Comme avec un garçon, votre nouvel chambre est pendant les premiers jours un petit palace. Les premiers temps, tout est parfait, tout brille, tout est beau mais au fil du temps, les paillettes laissent place aux problèmes. Une fuite d'eau par ci, une fissure par là. Et votre naturel n'est pas le seul à avoir repris le dessus, votre garde robe a pris possession de chaque millimètre carré...Pour peu que la chambre serve aussi de buanderie, vous aurez vos petites culottes suspendues à chaque petite aspérité afin de sécher. Mais comme vous aimez encore votre chambre, vous faites des efforts, un poster par là, un coup de ménage par ci. Le temps d'une journée tout redevient comme le premier jour. Comme une relation, un appartement c'est du travail et de l'entretien.

Comme la famille d'un compagnon, l'environnement de l'appartement a une grosse influence sur la décision. Par exemple, un superbe loft de 100m² dans un quartier réputé pour son haut taux de criminalité bien qu'attrayant n'est pas un choix judicieux. Alors qu'un charmant 15m² dans un quartier accueillant et chaleureux peut valoir le coup d’œil. Je me souviens à Bordeaux avoir un appartement avec un gros vis à vis. J'avais donc la joie de voir mon voisin se balader nu chez lui. Désagréable, pas nécessairement, gênant, un peu surtout lorsque nos regards se croisaient! L'intimité avec un appartement c'est pas négligeable. Personne n'a envie d'entendre la vie privée de ses voisins encore moins de la voir. Savoir que le voisin du premier rentre tous les soirs à 2 heures du matin bourré ou que la copain de la voisine d'en face est là pour le weekend et visiblement revient de plusieurs années en mer c'est amusant au début. Quand ça commence à me faire perdre des heures de sommeil, c'est plus possible. Je ne le répète pas assez, le sommeil c'est sacré!

Pour trouver l'appartement de ses rêves, tous les moyens sont bons...De plus en plus de gens parcourent les petites annonces sur internet. D'autres, plus old fashion, consultent le journal ou  parcourent les rues à la recherche de pancartes. Il y a aussi des gens qui en font leur métier : les agents immobiliers! Ces gens sont là pour faire tout le sale boulot à votre place. Il vous suffit de leur remettre une liste d'exigences et ils n'ont plus qu'à vous faire rencontrer le "Perfect Match". Lors de la recherche d'un appartement, il ne faut pas non plus négliger le bouche à oreille. Parfois, nous trouvons des pépites immobilières par l'intermédiaire d'amis. Quand vous êtes renseignés par quelqu'un qui vous connait et en qui vous avez confiance, vous savez qu'il n'y aura pas d'arnaque sur la marchandise. Et si par malheur ça ne marche pas, vous pouvez aussi compter sur vos amis pour vous aider à déménager et à passer au suivant!


Et pour finir voici un petit conseil. Connaitre les villes permet de cibler plus facilement et de s'adapter au marché. Par exemple à Paris, vos atouts sont vos fiches de payes, n'ayez pas peur de flasher les gros billets, c'est ce qui attire les golddiggers. A Londres, bien que l'argent soit un des critères, ce n'est pas le plus important. La personnalité et les compatibilités sont privilégiés. A l'image des Brits, la recherche d'appart à Londres se fait sans prise de tête et au feeling, mais tout peut s’arrêter du jour au lendemain. Cœur d’artichaut s'abstenir!


Parce que trouver la chambre de ses rêves nécessite un peu de chance et aussi parce que je me lasse toujours pas de cette chanson!

vendredi 26 avril 2013

Allo, non mais allo quoi! T'es à Londres et tu prends un coup de soleil! Allo!

Souvenez vous dans ma bucket list pré 25ième anniversaire, j'avais ecrit "Apprendre quelque chose de nouveau". Dans mon esprit, je pensais plutôt à prendre des cours de guitare ou m'essayer au tricot. Cependant par manque de temps (£££), je n'ai rien entrepris. Cela n'a pas empêché la vie de me donner une bonne leçon...Deux même!



Pour ceux qui atterrissent juste sur ce blog et qui n'ont pas spécialement envie de se taper les blocs de jeux de mots pourris précédents (bienvenue!!), je suis installée à Londres depuis plus de 7 mois! Bien que ce soit une île, le climat est loin d'être tropical! Nous pouvons donc dire sans trop exagérer, que ma peau n'a pas vraiment vu le soleil et été aérée autant qu'à son habitude. Pour être un peu plus graphique et citer l'un de mes amis philosophes (Thomas Crenn) "Mon dos est maintenant plus blanc que mon cul". Alors, quand les températures ont commencé à se réchauffer (15°C youhou!) et le soleil a montré le bout de son nez, j'ai sorti les mini shorts et déposé mon cabas à Hyde Park. Sans espoir quelconque de prendre des couleurs, la seule sensation du soleil sur ma peau nue me faisait l'effet d'une boîte d'antidépresseurs. En plus, j'y suis allée l'esprit léger et la conscience tranquille...Je veux dire par là, je suis à Londres, nous sommes en Avril, les chances d’attraper un coup de soleil sont en dessous de nul! J'aime à penser que je suis relativement intelligente et pourtant, sur ce coup là, je n'ai pas été maligne!
Le soleil, où que nous soyons dans le monde, c'est le même. Alors même si tu ne le sens pas, il te brûle quand même la peau et en l’occurrence mon nez! Je célèbre Red Nose Day un poil en retard! Leçon de vie #1


Mon deuxième grand enseignement de la semaine est quelque chose que visiblement tout le monde savait sauf moi. Comme à l'accoutumé, je suis la dernière mise au courant. Je resitue : Comme lu dans le paragraphe précédent  j'ai attrapé un coup de soleil sur le nez. N'ayant pas de Biafine à portée de main, je décide d'hydrater avec de la crème Nivea. Et comme on est jamais trop prudent, j'en mets sur tout mon visage. Je retourne ensuite au parc pour une deuxième après midi bucolique. Il fait bon bien que le soleil soit voilé par des nuages. La brise rafraîchit l'atmosphère, nous nous baladons pour éviter de rester statique. Jusqu'au moment où nous tombons sur une petite boutique 100% Attrapos Touristos au bord de l'étang. Nous y rentrons, nous nous étonnons des produits vendus, tous plus insolites les uns que les autres, et puis nous trouvons des petites bouteilles pour faire des "BUBBLESSS"!!! Une fois muni de nos machines à embêter aveugler les gens autour de nous, nous nous installons sur un carré d'herbe. Vent dans le dos, face au soleil, je bubble, je bubble, je bubble. Vite à sec, car pas douée pour un sous, je continue à donner des coups de pied dans la bouteille qui se renverse, nous décidons de bouger. En plus, il se fait tard et je commence à avoir froid. Le short à Londres oui, mais uniquement entre 11h et 16h. Enfin bref, petit arrêt par les toilettes publiques et là...HORREUR! J'ai la moitié du visage écarlate. C'est la que je découvre que la crème Nivea hydratante peut aussi faire office de monoï! Leçon de vie #2

 

J'ai donc maintenant une moitié de visage rosée, un nez rouge et l'autre moitié blanche! Louis Vuitton n'a plus qu'à m'appeler, je suis au top pour un entretien! Mais rassurez-vous, ces mésaventures n'altèrent aucunement la joie que le soleil me procure. J'ai toujours envie de danser pieds nus, cheveux dans le vent, bras dans les airs au son de Hair. J'ai toujours envie de courir nue dans le parc. J'ai toujours dès envie de (bonne) musique live en plein air jusqu'au petit matin! So lEEEEEEEEEEEEEt the sun shine, leeeeeeeet the sun shine in, the suuuuun shine in.

mercredi 17 avril 2013

Qui veut des vêtements, des vieux vêtements...£15 le kilo!

Il y a quelques jours, alors que je traînais sur les réseaux sociaux, une annonce a attiré mon attention. "Vintage Kilo Sale London" titrait le lien! Sur les quatre mots, trois sont synonymes de joie intense et le quatrième est trop souvent associé à "En trop", mais j'ai choisi de l'ignorer pour le moment. J'ai donc été à la recherche d'informations supplémentaires sur l’événement le lieu, la date et le concept. La prochaine aurait lieu le samedi 13 avril à Hackney Downs Studio dans l'est de Londres. Quant au concept, j'y découvre que comme son nom l'indique, il s'agit de faire des achats à la pesée et non plus au détail. Acheter une seule pièce, c'est tellement 2012! Les tarifs, honnêtes, commençaient à £15/kg puis £10/kg supplémentaire, au delà de 10 kilos! Celles et ceux qui sont habitués à voyager savent que 1kg de vêtements c'est pas énorme si l'on est adepte du cuir, du jean et des gros pulls d'hiver. Si en revanche vous êtes plutôt petites robes légères et chemisettes, vous pouvez refaire votre garde robe pour £30! L'annonce parlait également d'un espace dédié à l'accessoirisation ce qui a immédiatement attiré mon attention. Il faut dire que j'ai un faible pour tout ce qui est vieux pendentifs, bagues, lunettes de soleils, sacs et autres pièces dans ce genre! En plus, quand on sait que dans les friperies chaque pièce n'est disponible que dans une seule taille, il est souvent bon pour le moral que d'essayer des articles qui vous irons quelque soit votre tour de hanche! Il n'y a rien de plus frustrant que d'avoir un coup de cœur pour une robe et de ne pas pouvoir la fermer...L'effet du shopping sur les nerfs est sérieusement sous estimé par les professionnels. Ce sont des véritables montagnes russes émotionnelles qui commencent par l'excitation de la recherche, suivi par la joie de la trouvaille, l'euphorie de la bonne affaire, la panique de l'essayage et la frustration de l’échec...Les plus fortes d'entre nous ont déjà flanché sous la pression! Mais comme nous sommes un peu toute masochistes, nous y retournons. J'ai noté les infos, vérifié ma disponibilité et me suis préparée à ma première Kilo Vintage Sale.


Etre efficace dans ce genre de vente est crucial, c'est la clé, la différence entre une grande réussite et un epic fail. Etre une shoppeuse premium, cela ne s'improvise pas, ça se travaille. Quelques notions de kickboxing ne sont pas superflues, surtout en période de soldes chez Zara. L'apprentissage des langues étrangères peut aussi s’avérer utile, mais ne vous embarrassez pas de trop de vocabulaire, "C'est à moi" "Je l'ai vu la première" "Fuck you" devraient suffire. Noter bien que le dernier est compris par tous mais c'est toujours plus classe de s'adapter à son interlocuteur. Il est important d'aller faire du shopping le ventre vide pour ne pas être gonflée et être sûre de ne pas acheter une taille trop grande. Vous rigolez mais je connais des gens à qui c'est arrivé. Pour leur défense, ils s'étaient fait un bon gros McDonalds, ce qui influent plus sur le corps qu'une salade verte sans vinaigrette. Si vous avez vraiment beaucoup de temps à perdre, je vous recommande de vous entraîner à la fouille en bac. Avoir l’œil affûté et prêt à déceler la pièce rare n'est pas complètement inutile. Et surtout suivez mon credo "Si tu sais pas à quoi t'attendre, prépares toi à tout".


Il est aussi important pour ce genre de vente où, j'imagine, que les cabines d'essayage sont soit optionnelles soit blindées, d'optimiser sa tenue. Je vais développer mon argument en quatre points:
En haut : Un débardeur près du corps afin de pouvoir essayer par dessus et ainsi éviter de se retrouver topless au milieu d'une foule de fashionistas enragées.
En bas: Une jupe, type patineuse, afin de pouvoir essayer par dessous. Pas de flashage de fesses et d'étalage de cellulite, c'est un win win (pour vous et pour les autres clients)
Au pied: Des chaussures faciles à mettre et à enlever. Je choisis généralement des ballerines parce que mes pieds y sont moins vulnérables qu'en slaps.
Au bras: Un cabas pour y fourrer vos effets personnels mais aussi vos trouvailles et pouvoir continuer à farfouiller l'esprit et les mains libres.
NDLR: Eviter de porter une veste militaire acheter dans une friperie parisienne car quand vous la poserez sur le bord 'un bac pour essayer ce super blouson en cuir très 80's, quelqu'un pourrait s'en emparer et l'essayer. Pourrait s'en suivre un moment embarrassant!


Une fois parée à toute éventualité, je me suis mise en route vers ma petite aventure. Overground jusqu'à Dalston Kingsland, a.k.a Hipster central, où les marginaux ne sont pas ceux qui pensent l'être! Je m'avance dans les dédales de barbus, les yeux rivés sur mon iPhone. God save Maps! La vente se situe dans une sorte de zone industrielle qui a l'air plus désaffectée qu'en activité à 15 minutes de la station d'Overground. Tout a l'air fermé et peu accueillant, mais je continue de errer dans la zone jusqu'à tomber sur un petit restaurant. Je rentre en espérant y trouver de l'aide. Seulement c'est blindé parce qu'il est l'heure de bruncher. Pendant mes 5 minutes dans le restaurant, personne ne fait attention à moi malgré mes tentatives. Je quitte les lieux avant de me lancer dans un numéro de claquettes du désespoir! Par chance, je tombe sur une autre modeuse qui comme moi est perdue mais qui a trouvé quelqu'un à qui demander des renseignements. Je la suis donc jusqu'à l'antre.


L'entrée est tenue par deux filles. L'une d'entre elles, blonde peroxydée et visage percé, m'a l'air hostile mais je m'approche quand même d'elle. Sans sourire, elle me demande mes £1 pour l'entrée. Je lui tends et en profite pour ajouter mon nom à la mailing list. Elle me fixe, tampon encreur à la main, impatiente. Je lui tends ma main pour être marquée et procédée. Dans le hangar, il devait y avoir une vingtaine de personnes, têtes baissés dans de grandes bennes. Parsemées en peu partout sur le sol, des piles de vêtements  La lumière quasiment inexistante n'était pas vraiment idéale pour faire du shopping. Je me lance et plonge tête la première dans la benne. Je pioche dans les vêtements  J'y trouve de nombreux pulls en laine aux motifs douteux, des jupes trop longues pour mes courtes pattes potelées et des jeans tailles hautes qui me rappellent trop ceux portés par une vieille prof d'anglais de Villa Pia. Dans le méli-mélo cohabite également des robes type bal de promo US des 80's et shorts en velours  Si les hipsters ne suivent pas les modes, ils sont visiblement aussi insensibles aux saisons. Alors que le soleil brille et que les températures se réchauffent, ils se rencontrent pour acheter des manteaux en cuirs et des vêtements chauds! Je me meus de bennes en bennes, perdant ma foi et mon excitation. Je pars me rebooster au stand bijou.


Strass, blings, paillettes et rouille...voila ce qui est étalé sous mes yeux ébahis par d'infini possibilités. Des bagues par milliers, des broches par centaines, des colliers à ne savoir qu'en faire. J'ai du mal à fixer mon attention sur un seul produit. Je finis par arriver au niveau des lunettes de soleils. Je les essaie toutes les unes après les autres pour finalement me décider pour une seule paire. Alors que j'attends pour payer, je tombe sur l'espace dédié au accessoire pour cheveux en grande partie occuper par des nœuds en tout genre. Trois pour £5, il m'est très difficile de résister mais surtout de n'en sélectionner que trois. Je fais aussi un passage par la table, tout à £1. J'y trouve une chaîne  parfaite pour mon pendentif Chanel qui traîne dans ma boite à bijou depuis 2009. Mieux vaut tard que jamais! De nouveau d'aplomb pour ma recherche de pièces parfaites, je me relance dans l'exploration des bennes. Après 30 minutes, j'éternue comme une folle à cause de la poussière et je sais plus où j'en suis dans les bennes. J'ai l'impression d'être dans l'épreuve des vasques de Fort Boyard. J'ai l'impression d'avoir tout fait et je suis frustrée de ne rien trouver. Je décide donc qu'il est temps de retourner à la réalité. Je quitte les lieux, mon nez coule, mes yeux sont rouges et j'éternue à intervalle régulière...Fichus hipsters et leur vêtements poussiéreux!


samedi 30 mars 2013

The SM Experience


Je vous arrête de suite dans vos fantasmes pervers, je ne vais pas conter ici une expérience à la 50 Shades of Grey, bien que je sois sûre qu'une version 50 Shades of Gatou aurait un franc succès. Dans l'article qui suit, SM signifie Social Media. Cela étant expliqué, certaines personnes ont considéré le challenge que je me suis infligée comme du Sado Masochisme. Pour ma part, j'avais de grandes attentes. Sept jours complets sans traîner sur Facebook, sans stalker sur Twitter, sans m'arracher les yeux sur Instagram, c'était là la promesse d'avancer dans cette interminable "To-Do List" qu'est ma vie. Seulement j'ai découvert qu'en procrastinatrice émérite, la suppression de ces distractions ne m'empêche absolument pas de repousser à plus tard mes projets. La jeune fille pleine de ressources que je suis n'a pas son pareil pour trouver d'autres pertes de temps. Ne me jettez pas encore la pierre, j'ai quand même avancé sur quelques trucs : J'ai écrit pour B², j'ai recousu les boutons de ma chemise, j'ai (re)fini le tome 1 de Harry Potter, j'ai postulé à plein de jobs sans faire les erreurs habituelles. En réalité, la seule différence entre mon quotidien avec et mon quotidien sans les SM, c'était ma faculté à rester concentrée sur une seule chose plutôt que de multitasker dans tous les sens et faire n'importe quoi! A croire que l'adage "Ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité" résonne enfin comme une vérité.

Pour rentrer dans le vif du sujet, voici une réponse à cette question que tout le monde m'a posé : "Mais pourquoi t'imposes-tu ça?", souvent suivie dans "Ben moi je pourrais pas", même de ma mère...Où va le monde? Donc, pourquoi ai-je décidé de quitter le monde digital le temps d'une semaine? Honnêtement, je ne sais pas. J'ai plein de théories mais au final c'est juste un besoin que j'ai ressenti. Une envie de break, de vacances mais comme je peux pas physiquement me déplacer aux Caraïbes, j'ai juste quitté ma vie virtuelle. Depuis mon entrée sur Facebook en 2006-2007, je pense ne pas exagérer en disant que j'y ai passé une majeure partie de mon temps. L'obtention de mon premier smartphone en 2009 n'a pas aidé! Je vous accorde qu'avec ma bougeotte ce fut un excellent moyen de garder contact avec ceux laissés derrière ou avec mes nouvelles rencontres une fois de retour en terre natale.
Mon choix a aussi été appuyé par un article scientifique lu dans un magazine de grande qualité (Grazia) expliquant les effets de cette hyper information sur la qualité du sommeil. Grosso modo, ils expliquaient qu'en étant connecté tout le temps, nous sommes en prise à une quantité de données trop importante. Le sommeil étant utilisé pour la procession des informations ingurgitées pendant la journée, plus il y a d'infos, moins les périodes de sommeils réparatrices sont longues. Or chez moi, le sommeil c'est sacré (certaines pourraient témoigner...remember le sejour au ski de 4ième)! Pour finir, ce challenge intervient à un moment dans ma vie où mon job est tellement répétitif qu'il ne me demande plus beaucoup d'effort. J'ai l'impression d'avoir fait le tour de ce qui m'est demandé sans avoir la marge de prendre des initiatives. Je me sens prisonnière en quelque sorte, et j'avais besoin de me sentir libérée, j'ai donc choisi de couper avec mon addiction pour les média sociaux. Et puis si pour pimenter ma vie j'ai envie de me lancer des challenges, chacun son truc! Prochain challenge, je me mets au sport...HAHAHHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHHA


L'expérience en elle même s'est très bien passée. A un certain point, je n'y pensais même plus. Tellement plus que le journal que je voulais tenir pour relater mon quotidien déconnecté s'arrête au jour 3. Je voulais aussi publier un florilège des statuts que j'aurais posté si je n'étais pas tenue éloignée de Twitter. Après relecture des premiers jets de mon esprit, j'ai réalisé que bien souvent, je devrais tourner mes pouces dix fois avant de cliquer. Enfin voici quand même un extrait de mes pensées lors des 12 premières heures:
"21.3.13 - 00:08 Pour citer une série télé que j'adore dans laquelle une des protagonistes est privée d'ordinateur et de téléphone pendant une semaine: "I have all those feelings but if I can tweet about them, are they even real?"!! Je ressens déjà un manque. Pas tellement un besoin d'aller sur Facebook mais la peur de passer à côté de quelques choses. J'ai beau quitter les media sociaux pendant 168 heures (oui j'ai calculé parce que j'ai du temps à occuper maintenant), le monde lui continue d'y tourner. Aussi stupide que cela puisse paraître  m'auto interdire de me rendre sur ces plateformes me donnent encore plus envie d'y aller. J'en suis à questionner ma propre autorité sur moi-même! Ok, Je délire, je me couche! 
21.3.13 - 12:05 Douze heures sans jeter un oeil à Facebook ou Twitter! La dernière fois que j'ai tenu aussi longtemps j'étais dans un avion entre Singapour et Londres. Je ressens toujours pas de manque à proprement parler mais j'ai encore les reflexes de réfléchir à ce que je vais pouvoir poster ou de réfléchir à ce que ma communauté peut bien faire. J'ai aussi fait de très étranges rêves où j'étais sur l'ordinateur et la fenêtre Facebook se rallumait continuellement, plus je la fermais et tentais de l'ignorer, plus elle revenait en nombre, comme la lettre pour Poudlard dans Harry Potter. Ensuite, elles sortaient de l'écran et me poursuivaient! Dans un autre rêve, je revenais sur Facebook à la fin de la semaine sans aucune notification, aucun ami, aucune nouvelle...Quitter Facebook avait été comme disparaître de la face de la terre. Je n'étais plus rien, j'étais oubliée de tous. Le troisième n'a rien a voir avec Facebook ou les réseaux sociaux mais il était tout aussi surréaliste. J'étais en Vacances en Italie chez mon oncle caché (dans le rêve) George Clooney. Il y avait une compétition de surf sur le lac de Côme et je vivais une intense histoire d'amour avec l'un des participants. Nous vivions heureux, nous vivions cachés dans un placard (WHAT?). Il y avait aussi mes parents et certains de leur amis dont les visages ne m'étaient pas familiers. Nous partions en excursion dans un bus conduit par George. Le bus était sacrément tout terrain, descendant les escaliers, roulant sur l'eau...Et visiblement après avoir assisté à une compétition de surf sur un lac plus rien ne m'étonnait. D'ailleurs, le lac de Côme ressemblait étrangement à l'affiche du Seigneur des Anneaux - Les Deux Tours."
A part ces crises de folie où une fois de plus mon imagination est partie très très loin, pas grand chose à signaler. Samedi, j'ai du regarder par la fenêtre pour savoir qu'il neigeait, et je parle d'une vraie fenêtre transparente qui donne sur le monde extérieur, pas celle de Google Chrome. Malheureusement je n'ai pas pu être informée des conditions climatiques de Paris et Biarritz depuis ma chambre! J'ai aussi commencé à entendre des voix...Enfin une voix, celle d'Alicia Keys qui me chantait en boucle "That girl is on FIIIIIREEEEEE". Rien d'anormal vous me direz sauf qu’au lieu d'entendre la chanson dans ma tête, je l'entendais comme venant de l'au-delà. Elle résonnait en écho pendant que je me douchais comme si elle était jouée sauf que personne n'était entrain de l'écouter. Très étrange mais surtout exaspérant car cette chanson est insupportable!

En conclusion, je suis pas aussi accro que je le pensais mais par contre, il est inutile de me priver pour avancer, car je ne m’attelle à mes taches que si elles me motivent!

mardi 12 février 2013

Misery loves company in English too


I dedicate this message to all the girls out there, who, like me, are boycotting Valentine’s Day, but not by choice! Who are we kidding with our "It is soooo commercial", "Those couples kissing everywhere- it's disgusting. We aren't animals!"...While deep down, we are moping about our fate, questioning everything from our body and personalities to karma (that bitch). Breaking news people: we all are princesses waiting for Prince Charming...in the meantime we kiss all the frogs we meet… just in case!

This year one thing hasn't changed; I am still single on that Holy day. I am, once again, pretending that I don't care BUT will spend some of my precious time and energy to cherish myself! For once, I am not going to buy myself a crazy gift. Instead, I am going to take a bath, listen to some good tunes, read a book (more likely a gossip magazine) and some beauty product. My goal is to combine useful and fun. I hope to find that miracle product which will blur my green-ish complexion, erase the braille message formed by my acne (at 24, why not!), and my dark circles and other signs of exhaustion, all in cold water to fight my cellulite!! I guess that this description helped you to understand the many reason explaining my single status!


In fact, I insist that I am single by choice (a man, what for? I know how to change a light bulb. Yes I have been shocked several times but you know what, I totally rock that afro).  Usually, the situation doesn't really bother me. Lately, I have even been questioning what place would love haunt in my tight schedule, but deep inside my little heart knows that I won't be less happy with that special someone by my side on a regular basis. Someone to annoy when I am bored, take anywhere from parties to exhibitions, to concerts but with whom I will also enjoy simply loitering around and watch DVDs in bed. A man, possibly over 18 but also far from retiring, handsome enough to make me want to show him off but not too much so I won't have to lock him in my basement. I am not the jealous type, but I know my limits! A social homebody, independently attached to my wee-self, who does what I want but not without fighting first, someone who will make me tear up...from laughing. A simple and smart guy, faithful and trustworthy, who can cook and clean! If he also has loads of money and love to travel, I'll marry him within a year! If you happen to know someone close enough to the above description, forward him my email! Haha...But, seriously, agathe.boulous@gmail.com ;)


If it’s “Raining Men”, as The Weather Girls so eloquently put it, it’s definitely not raining perfect men.  So here is my Proud Single Playlist to make that day about the person you should love more than anything and you should cherish until death do you apart...Yourself! Plenty of girl power, humor, dream, love and some songs that remind you why it's better to be alone than with the wrong person (I'm talking to you Taylor Swift :
Little Jackie - The World Should Revolve Around Me
Beyonce - Single Ladies
Beyonce - Run the World
Alesha Dixon - The Boy Does Nothing
Diam's - Jeune Demoiselle
LMFAO - I'm Sexy and I Know It
Destiny's Child - Independant Women Part 1
François Hardy - Le Temps de l'Amour
Blondie - One Way or Another
Taylor Swift - All her song which are good reminder that famous or not, every boy is an asshole...but daddy!
Adele - She's just here to confirm what Taylor is trying to say
Lily Allen - It's not Fair
Elton John - I Want Love
ABBA - Gimme Gimme Gimme
Whitney Houston - I'm Every Woman



Happy Valentine's Day Y'all


My first gift to you : 





My second gift to you, here

Misery loves company



Ce post est un Big Up à toutes les filles qui comme  moi boycottent la St Valentin, mais pas par choix! De qui se moquons nous avec nos "C'est tellement commercial", "Ces couples qui s'embrassent dans les lieux publics ça me donne la nausée, un peu de retenue MERDE"...Alors qu'au fond, nous nous morfondons sur notre sort, questionnant tout de notre physique et personnalité à notre karma. Et oui, SCOOP, nous sommes toutes des princesses qui attendons le prince charmant...en attendant, nous embrassons les crapauds qui passent, juste au cas où!

Cette année, n'échappant pas à la règle, je suis une fois de plus célibataire en ce jour saint. Cependant, je vais encore une fois faire semblant de ne pas me laisser abattre et réserver quelques heures de mon précieux temps pour me dorloter! Cette fois, contrairement aux autres années où je me suis couverte de cadeaux fous sans jamais me décevoir, je ne ferai pas d'extravagance! Au lieu de ça, je vais m'installer dans un bain avec de la musique, un bouquin et des produits de beauté. Mon objectif est de joindre l'utile à l'agréable. J'espère pouvoir trouver le produit miracle qui va, je l'espère, effacer mon teint verdâtre, le message en braille formé par mon acné (à 24 ans, ben voyons), mes cernes et autres marques de fatigue, le tout dans une eau froid pour combattre la cellulite!! J'imagine que cette description vous a permis de lever le voile sur ce mystère qu'est mon célibat!



En effet, je soutiens être célibataire par choix (un mec pourquoi faire? Je change mes ampoules toute seule. Oui je me suis électrocutée plusieurs fois mais je trouve que l'afro ça me va bien), et en règle générale, cette situation ne me dérange pas. A tel point que, dernièrement, je me suis énormément questionnée sur la priorité qu'avait ma recherche du grand amour sur le reste, au fond de mon petit être. Je sais que je serais pas moins heureuse si par hasard un cher et tendre faisait son entrée dans mon quotidien! Une personne à ennuyer toute la journée, avec qui je pourrais courir les soirées, les expositions, les concerts mais aussi glander pendant toute la journée et regarder des DVD au lit. Un homme, si possible majeur et loin de la retraite, suffisamment beau pour pas qu'il me fasse honte, mais pas trop pour pas que je sois obligée de le séquestrer. Je suis pas jalouse mais j'ai mes limites! Quelqu'un de socialement casanier, d'indépendamment attaché à ma petite personne, qui m'obéisse et me confronte, qui me fasse pleurer...de rire! Un mec simple et cultivé, fidèle et de confiance, qui fasse bien à manger et le ménage! Si en plus il a de la tune et aime voyager, je l'épouse dans l'année! Si jamais vous connaissez quelqu'un qui coche quelques unes des cases, transmettez mon email!

Seulement voila, malheureusement, l'homme parfait ne court pas les rues et certainement pas les cuisines des Fast Food (Rihanna se vante d'avoir trouvé l'amour dans un endroit inattendu, pourquoi pas moi?), donc ma playlist spéciale célibattante pour faire de cette journée une célébration de la personne que vous aimez le plus au monde et devriez chérir jusqu'à ce que la mort vous sépare...Vous même! Au programme, du Girl Power, de l'humour, du rêve, de l'amour et des chansons qui vous rappellent pourquoi il vaut mieux être seule que mal accompagnée (N'est-ce pas Taylor Swift):

Little Jackie - The World Should Revolve Around Me
Beyonce - Single Ladies
Beyonce - Run the World
Alesha Dixon - The Boy Does Nothing
Diam's - Jeune Demoiselle
LMFAO - I'm Sexy and I Know It
Destiny's Child - Independant Women Part 1
François Hardy - Le Temps de l'Amour
Blondie - One Way or Another
Taylor Swift - Toutes ses chanson parce que les garçons, qu'ils soient célèbres ou pas, 
ce sont tous des mufles...sauf papa!
Adele - Toutes ses chansons aussi, parce qu'elle confirme la théorie de Taylor Swift
Lily Allen - It's not Fair
Elton John - I Want Love
ABBA - Gimme Gimme Gimme
Whitney Houston - I'm Every Woman



Joyeuse St. Valentin à toutes

Mon premier cadeau pour les lectrices : 





Mon deuxième cadeau pour vous, ici